À Doutou, un arrondissement de la commune de Houéyogbé, les paroles s’effacent, mais les actions restent. Depuis plusieurs mois, Philippe Adjitonou imprime un style de proximité, de fidélité aux engagements et de générosité active. Son nom revient sur toutes les lèvres, non pas à cause d’un micro ou d’un mégaphone, mais à cause d’un carnet d’actions bien rempli, au service de toutes les couches sociales.
Alors que le Tournoi Fraternité Ewlizo bat son plein et connaît un franc succès avec la participation de 24 équipes de la 18e circonscription l’initiateur du projet, Philippe Adjitonou ne se repose pas sur ses lauriers. Bien au contraire. Il est sur tous les fronts, en toute discrétion mais avec une efficacité qui ne laisse personne indifférent.
Ce que d’autres promettent, lui l’a déjà fait !
Celui qu’on appelle affectueusement Ewlizo ne se contente pas d’exister dans les discours. À Doutou, on voit ce qu’il fait. À Houéyogbé, on sent ce qu’il change. En voici quelques illustrations récentes
: -Organisation de la Spéciale Pâques Saxwè 2025 5 jours de fête, de concerts, d’animations culturelles, de jeux populaires, avec une forte mobilisation de la jeunesse et des artistes béninois.
-Distribution de dons aux gagnants : Motos, ordinateurs, téléviseurs et enveloppes financières offerts aux participants méritants.
– Soutien aux cultes traditionnels : Rénovation du toit du sanctuaire Zangbéto à Dodji, Adjamè, Doutou Centre et Djahounhoué.
-Soutien à la culture locale : Don d’instruments de musique flambant neufs à l’équipe de fanfare de Doutou, pour relancer les prestations.
-Suivi personnel des travaux sociaux: Philippe Adjitonou ne se contente que pas de lancer, il revient. Il ne délègue pas tout, il veille. Les chantiers de Doutou sont pour lui un engagement personnel.
-Création d’opportunités pour la jeunesse : Le tournoi Fraternité Ewlizo en est une parfaite illustration : sport, unité, découverte de talents, convivialité.
-Présence constante sur le terrain : Des quartiers oubliés aux chefs de village, des artistes aux jeunes joueurs de foot, il répond à tous sans exception de couche ni de statut.
Dans un contexte où beaucoup n’attendent que les périodes électorales pour se souvenir du peuple, Philippe Adjitonou se distingue par une approche inverse, il commence par donner, avant toute prétention. Il sert sans slogan. Il construit, sans projecteurs.
Et cela, le peuple ne l’oublie pas !
« Quand un homme arrose la terre avant la saison, il mérite la première gerbe de la moisson », dit un proverbe béninoise. C’est ainsi que Doutou, Djahounhoué, Dodji, Zoungbonou et tout Houéyogbé réapprennent à espérer, non par des promesses, mais par la preuve vivante qu’un fils du terroir peut encore incarner la politique du concret.
Ce n’est peut-être pas encore une déclaration politique. Mais le peuple, lui, voit, ressent et choisit en silence. Et s’il est vrai qu’«on ne choisit pas un chef par ses mots mais par ses traces », alors Philippe Adjitonou a déjà tracé une voie que beaucoup regardent avec espoir.